In the Hall ( PV : Personne :D)

Ferguson Andrew attendait dans le grand hall, enfin même immense hall de Gringotts, la banque tenue par des gobelins. Il attendait on tour pour pouvoir allez dans son coffre, car aujourd'hui c'était un jour de foule. En arrivant donc dans le hall, il alla vers un comptoir demander s'il pouvait accéder à son coffre, mais on lui montra la salle d'attente deux pas plus loin. Il approcha donc de la salle d'attente et fit étouffer d'un cri. Elle était bondé. Presque les gens de toutes sortes, s'entassaient les uns sur les autres. Andrew partit donc dans cette forêt humaine chercher une petite place. Il trouva par la suite le fruit de sa quête. Deux chaises vides étaient posées comme si elles l'attendaient. Il déposa donc sa malette sur une des deux chaises et s'assit sur la deuxième. Il scrut un peu le monde qui l'entourait. A sa droite une vieille pie, sûrement qui devait pratiquer de la magie noire. A côté de sa malette, un homme assez bien entretenue avec un costard. Ce devait être un homme important se dit il. Et sur toute la longueur de la salle se tenaient des hordes de gens.

*A ce rythme là, j'y serais encore demain !*

Puis il essaya de discuter avec l'homme en costard, mais celui ci ne lui répondit point. Ne voulant pas provoquer une fureur chez la vieille, il ne lui parla point mais l'entendit marmonner des mots inaudibles. Puis il vit dan l'encadrement de la porte de la salle d'attente une ombre se profiler sur le mur.

[ J'me sens d'humeur à être Personne ^^ -> ]

Ce matin là, les Stevenson c'étaient levés de bonne heure, et pour cause : Ils devaient passer la journée sur le chemin de traverse afin d'acheter à Hugo ses fournitures scolaires.
Monsieur Stevenson avait également cetaines affaires privées à régler à l'allée des embrumes, mais n'avait pas voulu tenir son fils au courant de ses activités.
Ils jetèrent donc chacun une poignée de poudre de cheminette et furent immédiatement transporté dans la cheminée du chaudron baveur, où ils traversèrent l'arcade magique les menant dans la rue commerciale, bondée.

- Hugo, passe avec ta mère à la banque, je te donne la clé du coffre. Prends autant d'argent que nécessaire. je vous rejoindrai là-bas.

Le ton autoritaire dans la voix de Stevenson Senior dissuada son fils de le questionner sur sa destination.
L'étudiant haussa les épaules et fit route jusqu'à Gringotts, en compagnie de sa mère : une belle femme filiforme aux de longs cheveux bruns tombant en cascade le long de ses épaules et s'arrétant au niveau de ses reins.

Ils grimpèrent les marches de marbre et se rendirent aux guichets, non sans jeter des regards de dégouts en direction des gobelins, qui non seulement étaient trés laids, mais également trés peu acceuillant !

- Coffre 713 ! Lâchat Hugo en tendant la clé à l'un des gobelins.
ce denrier lui baragouina des mots incompréhensibles tout en pointant une porte au-dessus de laquelle se trouvait un écriteau " salle d'attente ".
Indigné, madame Stevenson s'apprétait à élever la voix, outrée qu'une sorcière de son rang doive s'abaisser à se mêler à la populasse et attendre son tour. Le gobelin tendit une main face à lui, lui faisant comprendre qu'il n'en avait que faire de ses gérémiades.

- Bien ... Dans ce cas, allons attendre, Lâchât-elle froidement, en jetant un regard de dédain à la créatures.

Hugo et elle poussèrent la porte en bois et découvrèrent une pièce remplie de gens.
Madame Stevenson soupira. Heuresement, elle avait toujours une gazette sur elle au cas où ce genre de situation se présentaient à elle. Prévoyante ? Oui, toujours !
Elle sortit osn exemplaire du Daily Prophet tout en cherchant un siège libre. La femme en répéra un non loin de l'entrée, mais il était occupé par un sac. Elle s'approcha néanmoins, la démarche fière et l'air hautain.

- Puis-je ? Demanda-t-elle, bien qu'elle avait tendu la main afin de déménager la malette qui squattait la future place de son royal postérieur.

Hugo reconnu le propriétaire de la malette, qui n'était autre que son professeur de Défence Contre les Froces du Mal et directeur des Gryffondor, monsieur Ferguson.

- Professeur, se contenta-t-il de dire en guise de salut.

Andrew pris de court par la femme qui se tenait devant lui près à faire giclé sa malette, l'enleva lui même pour dire que c'était libre. C'était l'une des premiere fois qu'il était aussi pris de court. Lorsque la femme s'éffaça il put reconnaître le jeune Hugo Stevenson. Pas étonnant que la femme soit sa mère, d'ailleurs Ferguson se dit que si la femme était comme cela, le père devait être mille fois pire. Il essaya d'esquisser un sourire à l'adresse des deux nouveaux arrivants et il engagea la conversation avec Dame. Stevenson :

"-Vous êtes donc la mère d'Hugo ! ... Je vois... Hugo est content j'espère, demanda-t-il en se retournant vers le principal intérréssé, ... enfin je veux dire, d'avoir des parents comme vous... Il devrait être fier. C'est assez énervant et vexant je trouve de devoir attendre comme ça. Cela est ..."

Il ne put finir sa phrase voyant la femme lui lançer un regard qui voulait tout dire. Tais toi et fais attention ce que tu dis. L'un des plus glacial regard qu'il n'ait eu vu depuis. Puis il retourna son regard vers le jeune Hugo pensant qu'avec sa mère, non pas que le courant passait pas mais justement il passait beaucoup trop !

"-Alors tu rentre en quelle année déjà ?"

Il le regarda attendant un signe de vie de sa part.

Madame Stevenson ne prit pas même la peine de remercier Andrew pour avoir libéré la place. Elle s'installa et ouvrit son journal, sans même prendre part à la discussion. En général, lorsqu'un parent rencontrait un professeur, ils entraient dans une conversation du genre " réunion parents-élèves " en parlant du déroulement des cours ou du comportement de leurs enfants ... Mais madame Stevenson n'en avait que faire du comportement de son fils ou de la façon dont l'homme donnait cours, tant qu'Hugo avait de bons résultats, c'était tout ce qui importait !
La femme se contenta juste de jeter un regard des plus glacial à l'attention de monsieur Ferguson, jugeant qu'il faisait trop de bruit à son goût, ce qui l'empêchait de lire ...

Hugo quant à lui restait debout à côté de sa mère, adossé contre le mûr de façon négligée, ses cheveux châtains lui tombant légèrement devant les yeux. Il fixait son professeur d'un oiel, tout en guettant le moment où quelqu'un viendrait les chercher afin de les conduire jusqu'à leur coffre.

- En dernière année, Répondit-il vaguement.
Il s'abstenait de lui poser des questions. Le garçon n'avait rien contre son professeur mais le fait d'engager une conversation avec lui en dehors de Poudlard lui faisait bizarre.

Madame Stevenson tourna la page de sa gazette bruyamment, faisant de ce fait comprendre à son fils qu'ils n'étaient pas là pour étaler leur vie privée.
Hugo arqua un sourcil puis reporta son attention sur les personnes assises dans la pièce.

Andrew qui vit la réaction de la mère comprit tout comme Stevenson que sa mère ne voulait point que l'on parle. Il fit alors un petit signe de négation à Stevenson et il alla vers les comptois en dehors de la salle d'attente car un gobelin l'avait demandé. Dans les long souterrain de Gringotts, il arriva enfin devant son coffre. Le gobelin lui ovrit et il prit l'argent nécéssaire aux quelques achats menseuels qu'il devait faire. De plus dans quelques jours la rentrée arrivait donc il se devait d'acheter quelques objets peu rutillants pour pouvoirs mettre en pratique ses cours de Défense Contre les Forces du Mal. La suite du trajet se fit dans l'inombrable bruit du wagonnet qui crissait, mais sans aucune parole. Lorsqu'ils furent arrivés le gobelin lui rendit sa clef et il put repartir dans le hall. Il revint un instant dans la salle d'attente et vit que les deux Stevenson attendaient encore. Il alla donc vers eux.

"-Mes hommages Madame Stevenson, à vous et à votre mari. Hugo, à la rentrée, si l'on ne se voit pas avant. Et bien bonne soirée."conclua-t-il.

Mme. Stevenson qui avait juste haussé un sourcil ne le regarda même pas partir. Ferguson se retourna un peu plus loin voyant toujours les deux Stevenson dans la salle d'attente.

*Qu'elle famille...*

Madame Stevenson ne remarqua même pas qu'Andrew quittait sa place, guidé par l'un des gobelins qui se trouvait précédement derrière l'un des guichets.
Hugo le suivit des yeux tandis que l'homme quittait la pièce, puis alla s'asseoir à la place qu'il venait de libérer, à côté de sa mère complètement absorbée par ce qu'elle était en train de lire.

Hugo regarda par-dessus son épaule et lut les gros-titres de la gazette : " Mort mystérieuse de moldus " ou encore " Sociétés secrètes nommées mangemorts ".
Le garçon se renfonça dans son siège, contraint à observer les personnes qui l'entouraient histoire de passer le temps ...

A sa droite était assise une vieille femme aigrie qui tricotait une espèce d'écharpe verdâtre ... Hum, niveau esthétique, on avait vu mieux !
Face à lui, un femme agée de la quarantaine était accompagnée de sa bande de marmots qui courraient à travers la pièce, ce qui avait le don d'agacer madame Stevenson, qui leur jetait de temps à autre un regard tueur. Hugo en était sûr : Si elle le pouvait, elle aurait sûrement déjà lancé une série d'Avadas Kedavras dans leur direction ...

La porte de la salle d'attente s'ouvrit une fois de plus, et un gobelin entra dans la pièce ...

- Stevenson ?

Madama Stevenson se redressa et replia sa gazette, marmonnant un " Pas trop tôt " dans ses dents. Elle se releva, Hugo l'imita, et tout deux suivirent leur guide, qui se dirigeait vers le hall puis finalement les conduisit jusqu'à un wagon.
En chemin, ils croisèrent monsieur Ferguson, qui faisait route inverse. Ne pouvant l'ignorer, madame Stevenson joua sa carte hypocrite :

- De même monsieur Ferguson. Minauda-t-elle en lui adressant un signe de la tête.

- A bientôt, Dit-il simplement, alors qu'il montait dans le wagon qui les mènerait jusqu'à leur voute.