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 Hell Van Branberg

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Hell Van Branberg
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Hell Van Branberg


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MessageSujet: Hell Van Branberg   Hell Van Branberg Icon_minitimeDim 23 Sep - 2:09

Avant toute chose :

AS-TU BIEN LU LE CONTEXTE ? Naturellement. (très bonne idée je trouve d'ailleurs) Harry et Drago sont en retenue dans la Salle des trophées, ils découvrent une arcade bla bla bla. Harry la passe, trouve une lampe a huile ancienne, la touche. Il s'avère que la fameuse Lampe est un portoloin gnia gnia gnia. D'ailleurs? Pourquoi ne pas avoir fait venir Drago? =D
ET LE REGLEMENT ? Oui. Remember le Beurre!

Informations personnelles :

NOM : Van Branberg
PRENOM : Hell, Azazhael
AGE : 17 ans
DATE DE NAISSANCE : 06 Juin 1978
ORIGINE : Hell est un sang-pur comme on les nommes si couramment. Bien qu'étant ce que l'on qualifie de « Bâtard »


DESCRIPTION PHYSIQUE : Comment pourrait on décrire Hell? Aux premiers abords, lorsqu'on l'aperçoit, on ressent instantanément l'irrésisitible envie de se blottir dans ses bras, du moins, si l'on est une jeune demoiselle. Et lorsqu'on est un jeune homme, on ne peut que le jalouser, et cependant, son attitude pousse à aller lui parler. Beau? C'est tout à fait ça. Le mot exact serait superbe. Et croyez moi, la magie n'y est pour rien la dedans, une mère anglaise, un père transylvanien et le tour est joué. Aux deuxièmes abords, le deuxième adjectif qui vous cligne devant les yeux est inmanquablement Serein; rien ne semble troubler ce jeune homme aux allure d'Angelot, il paraît tout bonnement calme, et ce dans toutes les épreuves. Pourtant, si on observe bien, lorsqu'il rédige un devoir, une petite plissure apparaît sur son front, signe qu'il est en train de réfléchir. Ce doit être le seul signe. Peut être que lorsqu'il est véritablement furieux, vous apercevrez un rictus naître au coin de ses lèvres blêmes. Si rien n'apparaît sur son visage carré et aux joues creusées, ses yeux expriment tout. D'une couleur azur, il y passe bien des sentiments, de l'étonnement, une malice effrayante et terriblement attirante. Bien des personnes ont tenté de regarder Hell droit dans les yeux, sans grand succès, il est donc tout à fait normal que nul ne devine ses sentiments, ce qui ne peut le rendre qu'encore plus mystérieux aux yeux d'autruie. Sa mère elle même ne peut plus noyer son regard dans le sien depuis ses 6 ans, comme s'il s'agissait là du pêché originel. Elles furent bien nombreuses à tenter l'expérience, et lorsqu'elles y parvenaient plus de deux secondes, elles se détournaient, dégoutées, comme si elles avaient vu la pire des choses dans ce simple regard azurin. Certaines lui révèlèrent, juste avant l'acte luxurien, que lorsqu'elles le regardaient, elles avaient l'impression de s'aventurer dans une histoire incestueuse, comme si cette simple oeillade leur avait montré une scène de couple avec leur propre frère, qu'elles en possèdent ou non. Mais croyez vous que cela le gênait lui? Pas le moins du monde, cela l'amusait et il sortait de sa voix posée et ensorcelante, impregnée d'une malice non dissimulée qu'il serait très amusant de jouer cette scène dans la couche. Puis il menait alors sa proie vers monts et merveilles, et la belle s'endormait dès que c'était terminé. Tandis que lui regardait le plafond, remontait en même temps le drap blanc sur son corps apollonesque, sur ses jambes d'athlète, son abdomen trop bien taillé. Puis il croisait ses bras musclés derrière sa tête, passant en même temps une main dans ses cheveux châtains foncés, mi longs mi courts et les décoiffait. Et au final, il se laissait lui aussi aller dans les bras de Morphé environ deux heures.
Et lorsqu'il s'éveillait, il jetait un rapide coup d'oeil à la créature endormie à ses côtés, puis se levait, révélant une hauteur d'1,88 m et cachait son corps dénudé à la peau blanche avec son uniforme aux couleurs de sa maison ou un costume noir. Sa couleur préférée. Puis il repartait, sourire d'ange aux lèvres, avec l'irrésistible envie de fumer une Black Jealousy, ses cigarettes favorites. Hélas, dans une école, on ne fume pas. Alors il sifflotait un petit air avant de sourire de toutes ses dents impeccablement droites et blanches. Oui, il avait l'allure et la stature d'un Ange, mais n'était il pas justement l'antithèse de ces créatures auréolées et ailées?


DESCRIPTION CARACTERE : Comme mon narrateur le dit si bien dans ma descritption physique, je suis l'entière antithèse de l'Ange. Le total contraire, et j'en suis personnellement fier. Les démons et les diables sont vils autant d'apparence que de morale, il faut bien changer n'est ce pas? Oh, vous allez sans doute me dire: « Des anges qui ont le diable au corps, on en voit tous les jours », et dans ce cas ci, je vous réponds : ils/elles n'ont que le diable au corps, ils/elles se prennent pour des petits devils qui au final ne montre aucune répartie de l'ange rouge à la queue fourchue. Moi, je suis le diable en personne. Je ne suis pas gentil, ce serait même tout le contraire. Que ce soit avec mes semblables ou non. Nul ne peut se vanter d'avoir entendue sortir de ma bouche une parole gentille ou amicale. Ou alors, ils n'ont pas compris que c'était de la pure ironie. Je hais l'être humain, c'est indaignable, avec ses valeurs à deux noises, ses principes bons à jeter au feu; C'en devient pathétique. Je ne respecte rien ni personne. Pourquoi? Parce que je ne suis pas un Ange, je vous l'ai dit plus haut, je suis le Diable en personne, et jamais Satan ne fit preuve de compassion ou de quelques égards agréables envers quelque chose ou quelqu'un, du moins, à ma connaissance. Et pourtant, à chaque conneries que je fais, à chaque sale coup, on me pardonne immédiatement et on me donne le bon Dieu sans confession, et je repars souriant, mains dans les poches, sifflotant un petit air à faire pleurer une none, tandis que mon esprit calculateur et mesquin part à la recherche d'une nouvelle foutaise à executer. Et vous savez le pire? C'est que je reste serein, comme si avoir commit l'irréparable ne me touche nullement, ne m'atteind même pas, à en croire que je n'ai pas fait cela. Irréprochable petit connard.
Je suis aussi direct que possible, je ne mâche pas mes mots, je les débite à une vitesse fulgurante, de telle manière que vous n'avez pas le temps de digérer la première insulte que je vous balance que déjà je vous enfourne une quantité d'autres dans le cerveau, jusqu'à vous briser, jusqu'à croître votre haine envers ma petite personne. Certains d'entre vous me haïssent déjà pour ce que je dis, je n'en ai que faire, vous n'avez qu'à dégager, vous lancer un sort d'amnésie et m'éviter tout au long de votre vie, pauvres petits enfants incapables de croire qu'il existe des petits cons sur terre. Vous vous êtes forgés un petit monde merveilleux où les lapins gambadent dans la prairie,où tout est rose et sans emmerdes. Et vous mesdemoiselles, vous me faîtes bien rire, toutes aussi belles les unes que les autres, ce n'est pas le détail qui me gêne le plus, je suis beau, et pourtant, je me trouve terriblement laid, nan, votre jalousie maladive, votre manie de tout vous approprier m'amuse, tout autant que ce délire de bouder pour un rien. Et la majorité de vous, conquêtes que vous êtes pensez déjà que je vais tomber amoureux de vous, que je pourrai vous aimer. Ôtez vous cette idée de la tête, je n'aime personne, je ne le peux pas, c'est un grand mystère de ma vie. Mon narrateur pourra vous le confirmer si vous lui poser la question par ce que l'on appelle ME ou MP, il vous répondra la même chose. Attachement, pourquoi pas, et encore... Oh non, je n'aime pas les hommes, je ne vois pas l'interêt d'aimer voilà tout. Mais ne ne vais pas partir dans ma philosophie à 2 gallions. Il est aussi inutile de chercher à me comprendre, vous perdriez votre temps voire même la vie. Je suis un beau salaud, c'est tout ce qu'il y a à savoir. Je me fiche de vous à longueur de journée, je ris de vos façons. Comme diraient les moldus qui eux aussi me font rire et qui sont devenus mon nouveau centre d'intêret, d'observation. Oh non n'allez pas croire que je suis traitre a mon sang comme on dit si bien, pas le moins du monde, mais ce n'est pas ce que j'étais en train de dire. Je reprends donc: comme le disent si bien les personnes dépourvues de pouvoirs magiques, je suis un petit péteux riche. Oui je suis riche. Plus que les Malefoy. Ma famille l'a toujours été. Et comme ces enfants moldus riches, je m'ennuie, la seule différence, c'est que je ne prends pas ce qu'ils appellent Coke, et je ne sors pas tous les soirs en fumant, buvant, en me camant ni en baisant mal. Bien au contraire, je suis bien loin de toutes ces futilités, je chasse mon ennuie en détruisant la vie des autres, en tuant leur existence. Ca m'amuse, ça me fait un bien fou. Et je me moque des conséquences. Je n'ai pas peur de la suite.
Enfin, je vous laisse un instant, le temps pour moi d'aller fumer une Black Jealousy. Mon narrateur va prendre la suite.

Il vous a assez bien résumer son caractère. A mon tour. Hell est comme son prénom l'indique: un enfer à lui tout seul. Le côtoyer, ça veut dire affronter les flammes, affronter son horrible quotidien. Il est cynique et fataliste. Pour lui, sa vie est une immense pièce de théatre, où il est le personnage central, le script hélas n'est pas écrit à l'avance, tout est impovrisé, et il ne doute pas de ses capacité. Il s'acharne sur les autres sans se soucier des conséquences, bien trop lancé dans son jeu, et il le fait avec une telle arrogance que vous vous demandez sans doute de quelle espèce il appartient. Et il travaille avec assiduité sur le nouveau script de sa vie, cherchant par tous les moyens comment briser son nouveau jouet. Il faut croire qu'il est très déterminé. Après quoi, il est très direct, comme vous avez pu le voir, et dur. Il a été élevé ainsi. Il est égocentrique, mais certainement pas égoïste. Il peut au contraire surprendre par son bon fond trop bien caché. Mais ne cherchez pas à le faire ressortir, la chose est naturellement bien enfouie, discret. C'est un érudit exigeant et intelligent. Et il n' a pas peur d'en faire trop dans ses devoirs, quitte à devier de temps en temps sur un autre sujet en relation avec celui traité. Il est très logique. D'un brin mesquin, il le cache bien, vous envoie paître lorsqu'il ne désire pas être dérangé. Hautain, idem. Minutieux et méticuleux, tout doit être parfait, chaque détail est calculé et soigné. Moqueur, vous l'avez constaté. Mystérieux. Toute sa vie est un mystère, même pour moi. Il est surprenant. On ne sait jamais comment il peut réagir. Obstiné, orgueilleux et patient. Il ne lâche pas l'affaire. Réfléchit, rusé comme le renard sadique et sage. Malin comme le Diable, que dis-je, il est le diable. Sensé et insensible. Sérieux et très sincère. Il ne triche pas sur sa vie, et ce qu'il cous dit est sincère bien qu'il vous le balance comme s'il s'agissait d'une paire de chaussette sale. Soigneux et solitaire. Sur de lui et vigilant.
Il se montre aussi un amant passioné, et il est préférable de ne pas lui ravir ses conquêtes, se montrant ainsi d'une grande jalousie.

Vous le détestez déjà, mais vous l'aimez aussi.


# Aime : Particulièrement faire son chieur, détruire la vie des gens. Excellent dessinateur, il aime griffoner quelques rapides portraits ou quelconque dessins sur une feuille de parchemin ou son petit carner. Poête, il lui arrive parfois de tirer la rime, toujours sur son calepin. Et pour terminer dans le domaine de l'art, il est naturellement doué pour le piano et se plait à composer et jouer, que ce soit à Poudlard ou chez lui. Entre autre, il apprécie la gente féminine et les belles choses. Il lui arrive d'ailleurs parfois de confondre ces deux points. Bien s'habiller est primordial chez lui, ce qui lui équivaut parfois la même manie que ces demoiselles à faire du shopping, passer des heures devant le miroir jusqu'à atteindre la quasi-perfection. Il adule particulièrement la discussion avec les tableaux et fantômes, qu'il juge bien plus interessant qu'un simple élève. La complication.

# N'aime pas : Ah...Ce qu'il n'aime pas. Peut être la maladresse et les personnes inutiles. Ceux qui se prennent pour trop haut, alors que lui même est pire qu'eux. Les demoiselles qui tentent par tous les moyens de le charmer lorsque c'est inutile. La violence gratuite. Il n'apprécie pas les elfes de maisons qu'il trouve trop lèche-botte, bien que son propre elfe soit un peu son confident. L'esprit de contradiction. Les défis inutiles. Il déteste par dessus tout parler de lui. Il a en horreur les personnes qui ne savent pas aligner plus de deux mots dans une phrase. Autant dire tout de suite qu'il évite au maximum Crabbe & Goyle. L'injustice. Le cynisme. Lui même. La complication.

Ne cherchez pas à le comprendre.


PARTICULARITE ? On raconte que la marque des ténèbres est inscrite dans sa peau...
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MessageSujet: Re: Hell Van Branberg   Hell Van Branberg Icon_minitimeDim 23 Sep - 2:10

BIOGRAPHIE :

# Origines : Ah ses origines! En voilà une fort belle question. Avant tout, Anglaises, Transylvaniennes, mais aussi, Françaises. Vous le comprendrez dans « Autres »

# Famille : Mr Vladimir Van Branberg comme « Père Adoptif » ; ??? ??? comme « Père géniteur », Anja Fenster comme Mère. J'ajoute aussi ma Nourrice, dont je ne vous communiquerai pas le nom ni même le prénom.

# Habitat : Middlesbrougth, non loin de NewCastle, dans un manoir bien reculé du monde moldu.

Je suis revenu. Je laisse mon Nart` se reposer un peu, Le pauvre doit beaucoup trop réfléchir pour trouver les bons mots, mais je suis satisfait de la suite de mon caractère qu'il a pondu. Mon histoire maintenant. Elle est identique à la votre, sauf que les chapitres sont différents.
Je suis né le 06 Juin 1968, je suis donc gémeaux. On raconte que les gémeaux ne sont jamais fidèles. C'est vrai, surtout la femme Gémeaux si elle est de signe Dragon en plus de cela. Ma mère est gémeaux et Dragon. Je suis singe. Bref. Fidèle à ses deux signes, elle le fut beaucoup moins envers son mari et ne le trompa qu'une fois. Elle ne pensait pas que cela se saurait, hélas pour elle, je grandissais déjà en son ventre lorsqu'elle décida de revenir son mari qu'on l'avait sommé d'épouser. Les mariages arrangés... Elle me raconta une fois qu'elle avait tenté de se débarasser de moi avant que sa grossesse ne fut découverte. Sans grand succès. Je semblais déjà décidé à gâcher la vie des autres. Mon père adoptif, que je considère comme mon seul père fut contraint de me reconnaître comme étant le sien. De par ce document, il faisait officiellement de moi son héritier et je le lui rends bien. J'aurais dû naître dans le pays natal de mon père, mais il en fut autrement, je naquit entre l'Angleterre et la France, en pleine mer. La question fut ainsi très vite réglée. Mi Français, mi Anglais. J'avais deux écoles: Beauxbâtons et Poudlard. Hélas, ne parlant pas un mot français, je pris l'initiative de me rendre à Poudlard. Mais nous avons passé bien des années. Ma naissance eut donc lieu le 06 Juin 1968. J'ignore encore s'il fit soleil ou s'il plut. Je me plais à penser qu'il fit un affreux orage et que je sortis du ventre de ma mère sous les pleurs des violons, sous la tempête de l'océan, épouvanté de devoir subir la venue au monde du monstre que je suis. Qu'importe pour la mer.
On dit que je fus un très beau bambin, que je suis toujours beau d'ailleurs. Je suppose que ce sont là les paroles de bonnes femmes toujours attendrie devant un nourrisson. Qu'ont elles toutes à proclamer que telle ou telle chose est belle? Les femmes... Mon père ne fut pas aussi attendrie que toutes ses mégères, je devais naître homme, et ne pas rester trop longtemps enfant. Ce ne fut pas ma génitrice qui s'occupa de mon éducation, ni même qui prit soin de moi, un précepteur et une nourrice s'en chargèrent à sa place. Ma nourrice avait une petite fille, Ann. Née peu avant moi, et qui me prêtait le sein de sa mère pour me nourrir. Mon père eut, raconte ma nourrice que je rencontrais il y a peu, l'idée de mêler au lait que je buvais du sang de Dragon pour me rendre plus fort et plus résistant. Superstition. Et Ann. Douce Ann, petite fillette aux cheveux blonds qui partageait ma douce enfance. Tandis que j'apprenais les bases de l'éducation d'un gentleman, ma douce Ann faisait l'école avec d'autres enfants que je ne connus jamais. Elle aussi était vouée à être une sorcière, mais hélas, nous n'étions pas de la même catégorie, ni du même monde. J'étais immensément riche, noble et du sang le plus pur, alors qu'elle était, je ne dirai pas pauvre, mais presque, qu'elle n'était même pas une petite bourgeoise, et que son sang autrefois pur avait été souillé par son arrière grand-père. Nous n'étions pas destinés à vivre autre chose qu'une légère amitié ensembles. J'étais blond à l'époque, tout comme la douce enfant qui vivait sous le même toit que moi. Ensembles nous grandissions, mais nos éducations n'étaient pas les mêmes. Elle était Française aussi, et sa mère lui apprenait cette langue amusante avec dextérité. Il m'arrivait parfois d'assister à ces cours, mais à l'époque, je ne savais guère parler ce baragouin, à peine plus que « Bonjour », « Comment allez vous? », « Je m'appelle Hell » et quelques autres formules de politesse. Aujourd'hui, je connais bien plus de vocabulaire et suis capable de converser avec un Français. Il m'arrive d'ailleurs de dialoguer dans cette langue avec Sir Nicholas de Mimsy-Porpington, qui lui même fit un séjour dans ce pays que j'ai hâte de visiter. Donc, la donzelle était une française, et je compris très vite alors qu'elle apprenait sa langue natale qu'elle irait sans aucun doute à Beauxbâtons, où moi même j'aurais pû aller. Le destin s'acharnait à nous séparer, alors qu'à à peine 7 ans, je sentais naître en moi ce sentiment que je m'évertues aujourd'hui à rejetter du plus profond de mon être. Oui, j'étais amoureux.
J'apprenais donc l'équitation, les lettres, les mathématiques et l'art de l'épée, et bien d'autres choses encore, tout ce que je devais apprendre en tant que noble riche, en tant que bourgeois. Et je le faisais à merveille, obéissant au doigt et à l'oeil de mon père. Je devenais le vrai petit garçon modèle qu'il avait toujours désiré. Et l'année de mes 8 ans, je montrais à tout le monde que j'étais bien un petit sorcier en envoyant valser sur un domestique qui m'avait manqué de respect une flopée de livres. Ma réaction était naturelle selon mon père, mais ce n'était pas l'avis de ma douce qui me fit la tête une bonne semaine avant de revenir vers moi, lasse d'attendre que je revienne m'excuser. Je n'avais pas à le faire, j'étais déjà bien capricieux et fier de mon rang, mais j'avais souffert le martyre sept jours.
Et elle me couvrait de roses et de baisers sur la joue que nous échangions à la sauvette lorsque personne ne nous surveillais, tandis que je lui offrais seulement de longues lettres, ne pouvant me permettre que cela afin que nul n'accuse ma nourrice de vol au cas où un domestique rapportait qu'il avait vu un bijou ou autre sur la fille de celle qui prenait soin de moi.

Puis deux années ainsi passèrent. Poudlard et sa rivale Française arrivèrent à grand pas. Nous reçumes tous deux les fameuses lettres. Elle n'en reçut qu'une, alors que j'en recevais deux, des deux écoles. Je me souviens encore de cette lueur émerveillée lorsqu'elle vit que j'avais reçu la même lettre que la sienne. Hélas, j'eus beaucoup de peine à lui dire « non » lorsqu'elle me fit promettre de l'accompagner en France. Ce fut sa mère qui se chargea de sécher ses larmes et de lui expliquer que je ne pouvais, faute de langue. Son père habitait encore le pays natal, elle le rejoint peu avant la rentrée, ne me souhaitant que bonne chance et déposant un léger baiser sur la joue, mais bien différent de ceux que nous échangions. Et dès lors, je sus que je ne la reverrais plus. Nous n'étions pas du même monde. Douce égérie de la France. Et je rejoins Poudlard, fus répartie. Mais je n'achève pas encore mon histoire. Il me faut vous conter 6 ans de ma vie, six années que je passerai très rapidement.


Votre scolarité à Hogwarts :



ANNEE : 7ème
BREVE DESCRIPTION DE VOS ANNEES PRECEDENTES A POUDLARD : Ma première année se passa merveilleusement bien, je n'avais qu'une hâte à cette époque: retrouver l'été et ma douce Ann. Je ne parlais jamais d'elle, de peur sans doute qu'un autre ose rêver de celle qui partagea mon début de vie. Et j'achevais mon année brillamment. Malheureusement, Ann n'était pas revenue, Et ma deuxième année fut identique à la première.
Au début de la troisième, je n'espérais plus la revoir, je savais d'avance qu'elle ne serait pas là, qu'elle ne serait pas au château où nous vivions. Ma nourrice, quant à elle, était toujours là. Mon père lui accordait des congés pour voir sa fille, pendant l'année, où je n'étais pas là, mais elle se devait d'être présente lorsque je rentrais du Collège. Je ne comprenais pas trop pourquoi, je n'en avais plus grandement besoin. Funestes paroles. A la fin de ma quatrième année, ma nourrice fut enfin congédiée, on lui permettait de retrouver la douce France qui m'était inaccessible. Et dès cet instant, ce moment où l'on me coupait totalement de ma douce Ann, je devenais plus mesquin et plus horrible que je ne l'étais déjà. Je n'avais jamais été fidèle à mon égérie, punition pour m'avoir ignorer, j'avais connu bien d'autres demoiselles, toutes aussi connes les unes que les autres, toutes espérant le coeur que je me refusais de leur céder. J'avais fait une croix sur l'amour.
Et enfin, la cinquième année. Année où je me décidais à reprendre contact avec celle qui avait emprisonné mon coeur d'enfant. Une lettre, en plein hiver, que je lui fit parvenir de chez moi, grâce à mon Hibou? Je ne voulais pas lui envoyer mon Corbeau noir, que j'avais nommé Helulchaga, pensant peut être qu'elle en serait effrayée. Et à mon retour à Poudlard, une missive m'attendait, d'une écriture fine et italique que je ne connaissais pas encore, mais que mon coeur gelé apprit par coeur. Elle m'avait répondu. Nous entretenîmes et entretenons encore une correspondance. Mais je découvris qu'elle était comme toutes les autres, me parlant d'un Gaspard que je ne connaissais pas, mais dont elle semblait éprise. J'ai déchiré la lettre, et fermait mon coeur à double tour, l'enfermant dans un coffre que je fermais à double tour et enchaînait, puis que je cachais au fond de l'arctique. Depuis ce jour, je joue l'indifférence, ne tentant pas plus que cela à rouvrir mon imbécile de muscle palpitant, et pourrissant la vie des autres encore plus qu'à l'ordinaire. Le peu de compassion que je possédais encore s'était évanouie. Mort. Enterré. Consummé.
Aujourd'hui, j'entre en Septième année, je n'ai pas encore vu Ann, je n'ai pas non plus de photo, et j'ai croisé sa mère, au détour d'une rue de Londres. Deuxième femme de ma vie après ma tendre mère. Toujours aussi belle et rayonnante. Elle me parla de sa vie en France, de sa fille, et je lui avouais que j'entretenais correspondance avec elle. Elle m'invita à passer séjour chez elle, en France, ainsi, me dit elle, tu pourras revoir Ann. Je sais que tu l'aimais autrefois. Autrefois. Est ce si loin?

Je me dois d'arrêter mon récit ici. Il contient l'essentiel de ma vie, et je ne voudrais pas que ces demoiselles se mettent en tête l'idée que je puisse les aimer ou de créer Ann venant en Angleterre.
J'espère que le peu que je vous ais offert vous satisfait et vous invite maintenant à faire partie vous aussi de mon histoire et de jouer avec moi dans le théatre de ma vie, sans que vous ne vous doutiez que vous pourriez être la prochaine cible de mon jeu de destruction.


COURS FAVORIS : Défense Contre les Force du Mal.
COURS DETESTE : Botanique

Hors jeu :

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PRESENCE SUR LE FORUM : A voir selon la tenue du forum.

Facultatif :

COMMENT AS-TU CONNU LE FORUM ? Je ne sais plus
DES SUGGESTIONS POUR L'AMELIORER ? Une présence plus régulière et beaucoup de publicité?
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MessageSujet: Re: Hell Van Branberg   Hell Van Branberg Icon_minitimeDim 23 Sep - 18:59

    Impressionante présentation Smile Ca m'a tout l'air d'être un cas ce Hell ( Porte bien son nom ^^ )

    Direction SERPENTARD !
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MessageSujet: Re: Hell Van Branberg   Hell Van Branberg Icon_minitimeDim 23 Sep - 19:07

Je vous remercie Smile (je suis en train de faire de la publicité pour ce forum,)
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MessageSujet: Re: Hell Van Branberg   Hell Van Branberg Icon_minitimeDim 23 Sep - 19:25

    Arf j'ai oublié de préciser que tu faisais gagner 3points à ta maison grâce à ta préso' Wink


( Merchi Very Happy )
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MessageSujet: Re: Hell Van Branberg   Hell Van Branberg Icon_minitime

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